La Société, entité à but non lucratif créée en 2007, assure le leadership dans la mise en valeur des ressources énergétiques du territoire tout en favorisant les retombées locales et régionales. La Société de l’énergie communautaire du Lac-Saint-Jean, c’est aussi un partenariat unique pour le développement au Québec, avec Pekuakamiulnuatsh Takuhikan, la MRC de Maria-Chapdelaine et la MRC du Domaine-du-Roy. Il s’agit en effet de la première entente entre autochtones et allochtones de ce type au Québec, une source de fierté pour la région.
La mission de la Société de l’énergie communautaire du Lac-Saint-Jean est d’identifier et de développer des opportunités d’affaires socialement acceptables dans le domaine des énergies renouvelables afin de maximiser les retombées économiques de ce secteur d’activité au bénéfice des partenaires et des communautés du territoire.
La marque distinctive de la Société repose sur des pratiques de développement durable développées depuis sa création et devenues aujourd’hui des valeurs de référence guidant ses activités et ses actions :
Dans un souci constant de mieux intégrer les projets dans leur milieu, la Société croit qu’il est indispensable de prendre en considération l’avis du public très tôt et à chacune des étapes. Pour créer des projets socialement acceptables, la Société vise à toujours mieux comprendre les préoccupations de la population et à incorporer leurs suggestions. Ce qu’elle veut : des projets souhaités qui ne nuisent pas aux populations touchées et usagers du territoire et qui contribuent au bien-être du milieu.
Les démarches de consultation de la Société sont réfléchies à l’avance et visent à informer la communauté sur les projets et leurs impacts le plus tôt possible pour ainsi connaître la perception des différentes parties concernées. Elles permettent donc d’identifier rapidement les enjeux d’un projet et de réfléchir à des alternatives ou mesures d’atténuation des impacts. Elles viennent valider et compléter l’évaluation des répercussions du projet, du cadrage préliminaire d’un projet jusqu’à sa mise en œuvre.
Afin de conserver un lien constant avec la population, la Société s’engage à déployer des outils et moyens de communication multiples dans le cadre de ses projets, à fournir l’information juste et complète ainsi qu’à maintenir la liaison communautaire dès l’amorce d’un projet et jusqu’à son opération. Cela fait partie de l’ADN de la Société.
Afin de minimiser l’impact de ses projets sur l’environnement, la Société oriente chacune de ses décisions vers le respect du milieu où se bâtissent ses projets. En préconisant une approche à long terme, elle prend en considération l’avenir du territoire et de la région. C’est ainsi qu’en amont comme en aval de la réalisation d’un projet, la Société déploie les efforts nécessaires pour considérer les impacts potentiels, trouver des mesures d’atténuation efficaces et en suivre l’évolution assidument.
La Société s’engage à participer activement et de façon transparente aux processus prévus dans le cadre de l’évaluation environnementale et de l’autorisation de ses projets. En effet, il est prévu que certains projets au Québec soient assujettis à la Procédure d’évaluation et d’examen des impacts, régie par le ministère de l’Environnement, de la Lutte aux changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP).
C’est dans le cadre de cette procédure qu’un avis de projet doit être déposé lors du démarrage et une étude d’impact conduite selon la directive émise par le ministère. Une fois l’étude d’impact jugée recevable, il est possible qu’un mandat soit confié au Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE), qui émettra ses recommandations au ministre. Ce dernier sera appelé à son tour à émettre une recommandation au gouvernement en vue de l’autorisation ou non du projet.
La Société souhaite aller au-delà des exigences réglementaires et veut conduire l’évaluation environnementale de ses projets le plus en amont possible et y faire collaborer les parties prenantes du territoire. C’est d’ailleurs ce qu’elle a réussi dans le cadre de l’élaboration et l’évaluation de ses projets de minicentrales.
La Société veut que ses projets contribuent à la vitalité socioéconomique de la région et que les ressources énergétiques soient développées en considérant les gens du territoire. Elle oriente ses décisions pour répondre aux besoins et attentes des parties concernées et aussi pour réduire les coûts sociaux et environnementaux. Au final, 100% des bénéfices sont retournés aux partenaires créateurs de la société, soit Pekuakamiulnuatsh Takuhikan, la MRC de Maria-Chapdelaine et la MRC du Domaine-du-Roy. Ni la Société ni les sociétés en commandite qui gèrent les opérations des projets ne peuvent utiliser les profits générés pour d’autres développements. Ce sont les partenaires qui décident de leur utilisation et encouragent à nouveau les initiatives propulsées par le milieu. L’esprit derrière cette gestion des bénéfices confère un effet domino à la vitalité socioéconomique de la région puisqu’elle permet de réinjecter les sommes retournées aux partenaires et ainsi maximiser les retombées à court, moyen et long terme.
À la fois gestionnaires des projets et donneurs d’ouvrage, la Société et les sociétés en commandite s’assurent que les contrats à octroyer soient accessibles aux entreprises de la région pour favoriser l’économie locale et assurer une équité.
La mission de la Société de l’énergie communautaire du Lac-Saint-Jean est d’identifier et de développer des opportunités d’affaires socialement acceptables dans le domaine des énergies renouvelables afin de maximiser les retombées économiques de ce secteur d’activité au bénéfice des partenaires et des communautés du territoire.
La marque distinctive de la Société repose sur des pratiques de développement durable développées depuis sa création et devenues aujourd’hui des valeurs de référence guidant ses activités et ses actions :
Dans un souci constant de mieux intégrer les projets dans leur milieu, la Société croit qu’il est indispensable de prendre en considération l’avis du public très tôt et à chacune des étapes. Pour créer des projets socialement acceptables, la Société vise à toujours mieux comprendre les préoccupations de la population et à incorporer leurs suggestions. Ce qu’elle veut : des projets souhaités qui ne nuisent pas aux populations touchées et usagers du territoire et qui contribuent au bien-être du milieu.
Les démarches de consultation de la Société sont réfléchies à l’avance et visent à informer la communauté sur les projets et leurs impacts le plus tôt possible pour ainsi connaître la perception des différentes parties concernées. Elles permettent donc d’identifier rapidement les enjeux d’un projet et de réfléchir à des alternatives ou mesures d’atténuation des impacts. Elles viennent valider et compléter l’évaluation des répercussions du projet, du cadrage préliminaire d’un projet jusqu’à sa mise en œuvre.
Afin de conserver un lien constant avec la population, la Société s’engage à déployer des outils et moyens de communication multiples dans le cadre de ses projets, à fournir l’information juste et complète ainsi qu’à maintenir la liaison communautaire dès l’amorce d’un projet et jusqu’à son opération. Cela fait partie de l’ADN de la Société.
Afin de minimiser l’impact de ses projets sur l’environnement, la Société oriente chacune de ses décisions vers le respect du milieu où se bâtissent ses projets. En préconisant une approche à long terme, elle prend en considération l’avenir du territoire et de la région. C’est ainsi qu’en amont comme en aval de la réalisation d’un projet, la Société déploie les efforts nécessaires pour considérer les impacts potentiels, trouver des mesures d’atténuation efficaces et en suivre l’évolution assidument.
La Société s’engage à participer activement et de façon transparente aux processus prévus dans le cadre de l’évaluation environnementale et de l’autorisation de ses projets. En effet, il est prévu que certains projets au Québec soient assujettis à la Procédure d’évaluation et d’examen des impacts, régie par le ministère de l’Environnement, de la Lutte aux changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP).
C’est dans le cadre de cette procédure qu’un avis de projet doit être déposé lors du démarrage et une étude d’impact conduite selon la directive émise par le ministère. Une fois l’étude d’impact jugée recevable, il est possible qu’un mandat soit confié au Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE), qui émettra ses recommandations au ministre. Ce dernier sera appelé à son tour à émettre une recommandation au gouvernement en vue de l’autorisation ou non du projet.
La Société souhaite aller au-delà des exigences réglementaires et veut conduire l’évaluation environnementale de ses projets le plus en amont possible et y faire collaborer les parties prenantes du territoire. C’est d’ailleurs ce qu’elle a réussi dans le cadre de l’élaboration et l’évaluation de ses projets de minicentrales.
La Société veut que ses projets contribuent à la vitalité socioéconomique de la région et que les ressources énergétiques soient développées en considérant les gens du territoire. Elle oriente ses décisions pour répondre aux besoins et attentes des parties concernées et aussi pour réduire les coûts sociaux et environnementaux. Au final, 100% des bénéfices sont retournés aux partenaires créateurs de la société, soit Pekuakamiulnuatsh Takuhikan, la MRC de Maria-Chapdelaine et la MRC du Domaine-du-Roy. Ni la Société ni les sociétés en commandite qui gèrent les opérations des projets ne peuvent utiliser les profits générés pour d’autres développements. Ce sont les partenaires qui décident de leur utilisation et encouragent à nouveau les initiatives propulsées par le milieu. L’esprit derrière cette gestion des bénéfices confère un effet domino à la vitalité socioéconomique de la région puisqu’elle permet de réinjecter les sommes retournées aux partenaires et ainsi maximiser les retombées à court, moyen et long terme.
À la fois gestionnaires des projets et donneurs d’ouvrage, la Société et les sociétés en commandite s’assurent que les contrats à octroyer soient accessibles aux entreprises de la région pour favoriser l’économie locale et assurer une équité.